Notre associé, Antoine Camus, et notre confrère, Stéphane Babonneau, avocats de madame Gisèle Pelicot, obtiennent de la Cour criminelle du Vaucluse la publicité intégrale et sans réserve de la diffusion de toute vidéo utile aux débats.
« Ce n’est que visionnées dans leur masse, et seulement dans leur masse, que l’on mesurera la contribution de chacun à sa petite échelle à cette monstruosité qui a duré dix ans pour Gisèle Pelicot. A cette banalité du mal, cette banalité du viol. », déclare Antoine Camus.
Pour rappel, le 20 septembre dernier, le président de la Cour avait d’abord interdit la diffusion des images au public et à la presse. « Considérant que ces images sont indécentes et choquantes, cela se fera en présence des seules parties au procès et de la cour », avait-il décidé. Cinq jours plus tard, Antoine Camus et Stéphane Babonneau, avaient à réclamé la levée de ces restrictions, au nom du combat que leur cliente mène contre les violences sexuelles.
Pour en savoir plus : lire l’article de France Info.