S’est achevée jeudi devant la cour criminelle d’Avignon, la deuxième semaine du procès de l’affaire dite des « Viols de Mazan », dans laquelle notre associé, Antoine Camus est engagé, avec Stéphane Babonneau, auprès de Madame Gisèle Pelicot et de sa famille.
À l’occasion de ce procès hors-normes, impliquant 51 hommes pour des faits présumés de soumission chimique et de viol, se trouvent au coeur des débats des questions fondamentales et structurantes pour notre société, dont notamment la définition du consentement en matière sexuelle.
Le procès est suspendu jusqu’à lundi dans l’attente que les soins actuellement prodigués au principal accusé, Dominique Pelicot, lui permettent non seulement d’assister mais aussi de participer activement aux débats.
Nous remercions d’ores et déjà les messages de soutien reçus pour notre cliente et sa famille à qui nous ne manquerons pas de les relayer, mais également tous ceux également parvenus à notre équipe. Ils nous viennent de France mais aussi d’Inde, d’Iran, des Etats-Unis et de partout dans le monde.